16/07/2014

Google signe un partenariat avec Novartis pour faire avancer son projet de lentilles connectées

Google veut faciliter la vie des diabétiques en leur permettant de mesurer leur taux de glycémie grâce à des lentilles de contact intelligentes, et prendre ainsi position dans un secteur en plein boom : la santé connectée. Pour faire avancer le plus vite possible son projet, la société a signé le 15 juillet un partenariat avec Alcon, une filiale du géant de la pharmacie Novartis.

Source: www.usine-digitale.fr

16/07/2014

Survey: 75 percent of patients want digital health services | mobihealthnews

According to a survey of thousands of patients in Germany, Singapore, and the United Kingdom, the adoption of digital healthcare services remains low because existing services are either low quality or not meeting patients’ needs. The survey, conducted by consulting firm McKinsey, included responses from at least 1,000 patients in the three countries.

“Many healthcare executives believe that, due to the sensitive nature of medical care, patients don’t want to use digital services except in a few specific situations; decision makers often cite data that point to relatively low usage of digital healthcare services,” McKinsey analysts Stefan Biesdorf and Florian Niedermann wrote in a recent blog post. “In fact, the results of our survey reveal something quite different. The reason patients are slow to adopt digital healthcare is primarily because existing services don’t meet their needs or because they are of poor quality.” 

McKinsey found that more than 75 percent of respondents would like to use some kind of digital health service. Many are interested in “mundane” offerings, the firm wrote.



Source: mobihealthnews.com

16/07/2014

Démocratie sanitaire (3/4). Internet, mon médecin et moi

Dans le « colloque singulier » qui unissait le docteur et le malade, un tiers s'est immiscé : le web. Si une démocratie sanitaire effective exige des acteurs informés, les médecins voient parfois d'un mauvais œil les malades arrivant avec un diagnostic glané sur un site. Mais d'autres œuvrent pour l'avènement d'un « e-médecin », prescripteur d'information numérique.

 

Internet est-il le premier médecin de France ? La question, volontiers provocatrice, est loin d'être purement rhétorique : sept Français sur dix consulteraient internet pour y trouver de l'information médicale, selon une étude réalisée par la société Global conseil. L'usage est donc massif. Néanmoins, que le monde médical se rassure, les analyses démontrent également que la première source d'information fiable reste le médecin.

 

« Il faut, et c'est l'un des enjeux d'une relation plus concertée avec le patient, que la personne qui vient consulter ne se sente pas minuscule, assure le docteur Jacques Lucas, vice-président de l'Ordre national des médecins et passionné par la question. Internet peut participer à cela. Le deuxième avantage, c'est qu'internet permet de dépasser cette forme de sidération intellectuelle qui saisit le patient lorsque l'on annonce un diagnostic. Je ne crois pas que le malade va aller sur le web pour simplement vérifier les dires du médecin, mais bien pour assimiler, digérer, à son rythme, les informations qui viennent de lui être livrées. »

Source: journalistesabishkek.typepad.fr